
Voyez ce reportage du JT de 20h de TF1 du 8 août. Quand on parle d’authenticité, de produits locaux et de saison.
Voyez ce reportage du JT de 20h de TF1 du 8 août. Quand on parle d’authenticité, de produits locaux et de saison.
Figurez-vous que le Wackes (filou) bien connu en Alsace, est à présent sensible à l’environnement et ne consomme que des produits locaux et de saison. Amateur de randonnées dans les Vosges, il a décidé de faire la tournée des fermes auberges en se basant sur les commentaires d’un site qui classe ces établissements par appréciation. Il y a découvert qu’il existait là-haut sur les chaumes, des fermiers aubergistes qui justement, partagent les mêmes valeurs d’authenticité. De retour de son périple,…
Lu dans la presse locale du 13 mars 2023 « La peste porcine africaine aura-t-elle la peau du repas marcaire ? Verra-t-on encore du collet fumé à la table des fermes-auberges ? Fin mai 2022, la découverte d’un foyer de peste porcine africaine (PPA) dans un élevage allemand à Forchheim-am-Kaiserstuhl, à six kilomètres de Marckolsheim, est venue rehausser le niveau de vigilance en Alsace en matière de biosécurité. De quoi susciter la grogne des fermiers-aubergistes,
Les Délices du Chênesire à Steige. Depuis 1987, Les délices du Chênesire, c’est Mélanie et Sébastien qui vous régalent avec leurs produits fermiers, ainsi que les glaces…
Voir le reportage tourné par Alsace 20 chez Christian Ancel gérant de la GAEC Hautes Huttes (Orbey) le 5 mars 2021.
Episode 2 Rêvons le monde d’après : de la fourche à la fourchette Les confinements successifs n’ont pas épargné les fermes-auberges quant aux indispensables adaptations pour assurer une certaine continuité économique. Elles ont développé la vente de viande bovine en caissettes ainsi que le « drive » pour celles qui étaient bien situées. Ce système de vente a connu un succès certain. Gageons que les clients aimeront retrouver cette production locale plus systématiquement dans leur assiette, fut-ce au détriment du marcaire.
Episode 1 Le monde d’avant. Il se caractérise par l’appétence des consommateurs de la plaine, pour le bio ou du moins la consommation locale, de préférence issue directement de « la ferme d’à côté ». Cette envie, voire cette revendication est des plus tendance ; au cours des dîners entre amis, dans les échanges animés au sujet des produits proposés par les commerçants, voire au retour du marché. Étrangement, ces mêmes consommateurs, bio et locavores, adeptes des circuits courts et…
Les éleveurs de montagnes sont en difficulté… Alors qu’ils contribuent à l’entretien des paysages vosgiens, les contreparties financières qu’ils reçoivent dans le cadre du projet « Montagne Vivante 2015 » risquent de ne pas être renouvelées.